Depuis des mois, des travailleurs de Lipton (qui appartient à Unilever), se battent pour des salaires décents... et se font de plus en plus violemment attaquer.
Une petit aperçu :
"Dans une section de la portion à « Durabilité à » de son site Web ridiculement intitulée à « Respect des droits à », Unilever affirme que à « Notre usine de Khanewal emploie un mélange d'employés permanents et de sous-traitants à », et que à « Pour garder ses opérations efficaces et concurrentielles, Unilever a recours à des agences pour lui fournir des travailleurs/euses pour ses opérations non essentielles à ». La société convient que le fait d'exploiter une usine avec 22 travailleurs/euses permanents/tes seulement sur un effectif total moyen de 533 (il se situe en fait à plus de 700 habituellement) à « soulève des questions à », mais prétend à « s'occuper de la question à ». Voici comment Unilever respecte les droits.
Depuis le 27 avril, Unilever renvoie à la maison sans travail les deux tiers environ des 237 travailleurs/euses à statut précaire qui ont adhéré au comité d'action. Les travailleurs/euses à statut précaire reçoivent le salaire minimum légal de 6 000 roupies par mois, à peine le tiers (sans avantages sociaux) du salaire des 22 employés/es permanents/tes. Mais pour recevoir ce salaire, ils/elles doivent travailler au moins 26 jours chaque mois, faute de quoi leur salaire est ramené à 252 roupies par jour de travail, l'équivalent d'un peu plus de USD 3,00. "
Toutes les infos sur http://www.iuf.org/www/fr/
et une vidéo http://www.youtube.com/watch?v=O3JcL4Uihqc&feature=player_embedded de soutien.
Las drogas producen amnesia y algo más que no me acuerdo.
salops de pauvres !
http://www.youtube.com/watch?v=x6mSGE08tGQ
J'adore quand un plan se déroule sans accrocs.
Et à l'opposé, chez Nestlé, le président menace de délocaliser le siège (basé à Vevey) si le gouvernement suisse prend la décision de plafonner les salaires des dirigeants d'entreprise.
"Nestlé, la plus grande compagnie de produits alimentaires au monde, pourrait quitter son pays d'origine, la Suisse, si Berne décidait du plafonnement des salaires de ses dirigeants. C'est la menace qu'a brandie le président directeur général de la marque, l'Autrichien Peter Brabeck, dans une interview parue dans les colonnes du quotidien dominical suisse Sonntag. à «Ce serait le début de la finà », a-t-il répondu à la question de savoir ce qui se passerait si le gouvernement suisse imposait un plafonnement des salaires des hauts dirigeants d'entreprises. Interrogé sur les conséquences d'une telle mesure sur son groupe, il a ajouté: à «Nous serions amenés à nous demander si la Suisse est toujours pour nous le lieu le plus appropriéà » pour y garder le siège de la société." (la suite ici)
"Peu importe la misère du moment qu'il y a du blé à se faire" 🙄 :crazy:
Ben je te le fais pas dire ma chère Laurianne...
d'ailleurs, si c'est que ça : http://www.iuf.org/nespressure/fr/ Une autre page pour une campagne... contre Nestlé...
Las drogas producen amnesia y algo más que no me acuerdo.
"Peu importe la misère du moment qu'il y a du blé à se faire"
Sales Majestés si ne m'abuse... ;D
The child is grown
The dream is gone
And I have become comfortably numb
Ben on a gagné ! 🙂 :jap:
http://www.iuf.org/cgi-bin/dbman/db.cgi?db=default&uid=default&ID=6286&view_records=1&ww=1&fr=1
Las drogas producen amnesia y algo más que no me acuerdo.